Égalité Femmes – Hommes : PARIFEX poursuit son engagement

Égalité Femmes Hommes PARIFEX

Des actions concrètes pour favoriser l'égalité Femmes - Hommes

Conformément aux dispositions légales, un plan d’actions est mené en faveur de l’égalité Femmes – Hommes au sein de PARIFEX.

Tout au long de l’année, les équipes ont été mobilisées contre le sexisme et sensibilisées au sujet de l’égalité professionnelle. 

  • Une campagne d’affichage a envahi les couloirs et les lieux de vie de l’entreprise afin de rendre visible l’égalité entre les femmes et les hommes, quelles que soient leurs compétences, leurs tenues vestimentaires, leurs origines ethniques et culturelles, etc. 
  • Fin février 2024, l’ensemble des collaborateurs et de la direction s’est réuni à l’occasion d’un atelier destinés à rappeler le cadre légal et à pointer du doigt les agissements sexistes et les effets sur les victimes.

Notre objectif

Traduire l’engagement de la société à valoriser une culture d’entreprise soucieuse de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. 

La politique tourne autour de 5 grandes thématiques :

  • L’embauche
  • La formation professionnelle
  • La rémunération
  • L’évolution professionnelle
  • Le respect au quotidien

A la suite du calcul de l’indice pour 2022, la note globale attribuée est de 87/100.

Cette note se base sur les critères suivants :

  • L’indicateur d’écart de rémunération : 37/40
  • L’indicateur d’écart de taux d’augmentations individuelles : 35/35
  • Le pourcentage de salariés ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année suivant leur retour de congé maternité : 15/15
  • Le nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 0/10

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Notre engagement pour garantir santé et sécurité au travail

Le respect de la santé et de la sécurité au travail fait partie des préoccupations majeures de PARIFEX. Nos activités nécessitent la mise en œuvre de moyens de prévention pour l’ensemble des métiers : R&D, production, logistique, SAV, gestion de projet et tous les services support.

Notre priorité est d’instaurer un environnement de travail sûr pour chaque collaborateur au sein de PARIFEX. Cet environnement sûr comprend à la fois les locaux et les pratiques de travail, qui doivent assurer santé et sécurité physique et psychologique à l’ensemble de nos collaborateurs.

Santé et sécurité au travail chez PARIFES

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L’ONISR dévoile le bilan de l’accidentalité routière en France en 2023

Bilan de l'accidentalité routière

L'Observatoire national interministériel de la sécurité routière dévoile le bilan provisoire de l'accidentalité routière en France en 2023

Les chiffres provisoires de l’accidentalité routière, en France, en 2023, ont été présentés par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR).

♦ Le bilan de l’accidentalité routière déclare une baisse de la mortalité routière en France métropolitaine, ainsi qu’en outre-mer ♦

Parmi les principaux résultats, l’ONISR déclare que :

  • 3 402 personnes sont décédées en 2023 sur les routes de France métropolitaine ou d’outre-mer (estimation ONISR au 22/01/2024). Ce bilan est inférieur de – 4,2 % par rapport à 2022 et de – 2,7 % par rapport à 2019, année référence sur la décennie 2020-2030.
  • En France métropolitaine, il est estimé que 3 170 personnes sont décédées en 2023, un résultat inférieur à 2022 (- 3,0 %) et à 2019 (- 2,3 %).
  • La mortalité routière est en baisse outre-mer. Elle est estimée à 232 tués en 2023, contre 283 tués en 2022 et 254 tués en 2019.*

*www.securite-routiere.gouv.fr

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Notre démarche environnementale poursuit sa route

Adapter nos activités tout en réduisant notre impact sur l'environnement

Soucieuse de l’impacte de ses activités sur l’environnement, PARIFEX renouvelle son engagement pour les trois prochaines années. L’entreprise a listé un plan d’action, des engagements et des objectifs qui seront analysés trimestriellement. 

Nous nous engageons à améliorer en continu nos performances environnementales et celles de notre système, à protéger l’environnement et à prévenir des pollutions en cas de situation d’urgence et à être en conformité avec les exigences légales et autres.

Parmi les objectifs que nous nous fixons, nous souhaitons optimiser la consommation électrique de nos équipements et mettre en place un bilan carbone de l’entreprise et son suivi annuel.

PARIFEX est une société certifiée ISO 9001 et ISO 14001. En savoir plus sur la certification.

Pour en savoir plus, contactez-nous

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La qualité au cœur de notre développement

Notre politique qualité 2024

A travers notre politique qualité 2024, nous poursuivons nos engagements en matière de qualité afin d’offrir à nos clients les meilleurs services et produits possibles.

Cette année encore, votre satisfaction et la réussite de nos projets communs reste notre priorité et celle de notre développement stratégique. Nous nous fixons l’objectif que 100% de nos clients souhaitent à nouveau travailler avec PARIFEX. Cet objectif est d’ailleurs mesuré, tout au long de l’année, à travers nos différentes enquêtes de satisfaction client.

PARIFEX_politique_qualité_2024

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Accidentalité en agglomération vs hors agglomération, quel bilan en 2022 ?​

Accidentalité en agglomération et hors agglomération, quel bilan en 2022 ?

En 2022, l’écart se creuse entre les chiffres de l’accidentalité sur les routes françaises en agglomération et hors agglomération. Et bien que le nombre de blessés graves toutes catégories d’usagers soit en baisse par rapport à 2019 en agglomération, il est en hausse hors agglomération.

Agglo, hors agglo et autoroute : un bilan contrasté

D’un point de vue global en 2022, 1 926 personnes sont décédées sur les routes hors agglomération, soit 59 % de la mortalité routière, et 1 034 en agglomération. En outre, on enregistre 7 600 blessés graves hors agglomération, soit 48 % des blessés graves, et un résultat similaire en agglomération avec 7 200 blessés graves. Enfin, l’autoroute, où 300 personnes ont perdu la vie l’année dernière, connaît une augmentation considérable de 14% de la mortalité.

Entre 2019 et 2022, on note trois évolutions majeures sur les routes de France. D’abord, le nombre de morts hors agglomération diminue de 1%, résultat d’une forte baisse des accidents mortels en voiture. Ce résultat est cependant compensé par la hausse des accidents mortels en deux-roues, à pied, à vélo et en équipements légers motorisés (les trottinettes, par exemple). En effet, les usagers vulnérables voient le nombre d’accidents exploser hors agglomération. En revanche, la progression de la mobilité douce en ville ne se traduit pas par une hausse des accidents et les chiffres restent relativement stables. Enfin, la courbe ascendante des accidents graves ou mortels sur l’autoroute se poursuit avec une hausse de 14%.

Les piétons et les vélos en danger

Lorsque l’on s’attarde sur les résultats par catégorie d’usagers, on observe que, malgré une baisse globale de la mortalité des piétons, tout environnement confondu, la majorité d’entre eux a perdu la vie hors agglomération ou sur autoroute. En effet, 25 personnes supplémentaires sont décédées sur les routes extra urbaines et 10 de plus sur le réseau autoroutier.

La tendance se confirme également pour les vélos. Face à l’augmentation de la pratique cycliste ces dernières années, +34% en zone urbaine et + 17% en zone péri-urbaine, cette catégorie d’usagers voit son taux d’accidentalité augmenter de façon significative tant en agglomération qu’hors agglomération. En effet, par rapport à 2019, le nombre de cyclistes tués en ville a bondi de 16%, principalement chez les 65 ans et plus, et celui des blessés graves de 8%. Et la tendance ne fait que s’accentuer hors agglomération où la pratique cycliste a augmenté de 18% et a vu 137 cyclistes perdre la vie en 2019, soit une hausse de 47%. Le nombre de cyclistes blessés graves grimpe, lui, de 22%.

Cycliste en milieu urbain

Les chiffres encourageants des deux-roues motorisés

Contrairement aux vélos, les deux-roues motorisés voient les chiffres de l’accidentalité s’améliorer. Bien que 715 usagers de deux-roues motorisés soient décédés en 2022 et 5 400 aient été blessés gravement, la mortalité des deux-roues baisse de 5 % par rapport à 2019 et de 13% en ville. Hors agglomération, elle augmente légèrement même si celle des plus jeunes chute, moins 40 accidents mortels.

Source : ONISR données définitives jusqu’en 2021, données provisoires 2022

Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l’ordre, en France métropolitaine, et estimations d’après la modélisation ONISR-UGE (Registre du Rhône)

Vélo et Territoires

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La semaine de la qualité de vie au travail sous le signe du bien-être

Égalité Femmes Hommes PARIFEX

Une quinzaine sous le signe du challenge à l'occasion de la Semaine de la qualité de vie au travail

PARIFEX fête la Semaine de la qualité de vie au travail ! De nombreux challenges liés au sport et au bien-être attendent l’ensemble des collaborateurs du 19 juin au 2 juillet 2023.

Nombre de pas, marche, running, jardinage, vélo, séance d’ostéopathie…, durant 2 semaines, nos équipes plongeront dans un challenge sportif, bien être et solidaire à travers de nombreuses activités, organisées par TrainMe, United Heroes et Decathlon ! 🧘

Au programme :

👟 Un challenge connecté collectif

👟 Des défis individuels

👟 Des webinaires bien-être & prévention santé

👟 Des cours collectifs d’activités physiques & relaxantes

👟 Un programme pour mieux prendre soin de soi

Les dons récoltés seront reversés à une association sportive pour enfants malades, Premiers de Cordée. 🙌

Sécurité routière : comment faire progresser les comportements

Bilan de l'accidentalité routière

Paul-Henri Renard, directeur général opérationnel à PARIFEX, évoque le sujet de la sécurité routière, les nombreux progrès réalisés sur les dernières décennies et les causes d'accidents qui subsistent...

Pensez-vous que la sécurité routière soit un sujet d’urgence ?

Les situations sont très contrastées d’un pays à l’autre. Dans le cas particulier de la France, la Cour des Comptes reconnait que des progrès énormes ont été faits sur les dernières décennies dans son rapport sur la politique publique de sécurité routière de 2021. En effet, nous sommes passés de plus de 18 000 tués sur les routes de France en 1972 à moins de 3 500 aujourd’hui. Mais elle met en garde contre des résultats qui stagnent. Depuis 2013, le nombre des décès a cessé de diminuer et la position de la France par rapport à ses voisins européens s’est dégradée, passant du 7e au 14e rang en dix ans. Certains pays, comme la Suède avec son projet Nollvisionen, sont très en avance pour atteindre l’objectif « zéro morts, zéro blessés graves » sur les routes. Nous avons encore beaucoup de progrès à faire dans notre pays. C’est donc un sujet d’urgence en France.

Quelles sont les principales causes d’accidents sur les routes de France ?

L’accident de la route se produit lorsqu’un élément vient perturber de manière irrattrapable le trio usager – véhicule – environnement. Plus de 90% des accidents sont la conséquence d’un dysfonctionnement lié à l’usager, que ce soit une défaillance humaine liée à la complexité de la tâche ou un refus délibéré de respecter les règles. La vitesse excessive ou inadaptée aux circonstances est la première cause d’accidents mortels. Les forces de l’ordre identifient ce facteur dans un accident mortel sur trois. Pour ce type d’accident, ce facteur vitesse intervient plus souvent que la moyenne sur les routes limitées à 70 km/h, ce qui reflète probablement la difficulté pour les conducteurs de percevoir la spécificité de ces sections et de prendre conscience des dangers associés. Il est moins présent sur les autoroutes limitées à 130 km/h.

La conduite en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants est la deuxième cause de mortalité sur les routes, après la vitesse. 43 % des décès interviennent dans un accident avec au moins un conducteur sous influence de l’alcool ou de stupéfiants. C’est un fléau difficile à éradiquer autrement que par des mesures de prévention et de sensibilisation des usagers car nous ne bénéficions pas aujourd’hui de technologies équivalentes à celles du contrôle automatique de la vitesse. J’en veux pour preuve le nombre de points de permis retirés en 2017. 70% d’entre eux ont été perdus en raison du non-respect des vitesses contre 0,9% pour usage de stupéfiants au volant et 5,2% pour conduite sous l’emprise de l’alcool.

Enfin, la conduite d’un véhicule nécessite une forte concentration du conducteur sur sa tâche pour pouvoir réagir au plus vite et prendre les bonnes décisions. En France en 2021, le facteur causal « inattention ou usage de téléphone ou distracteurs technologiques » est relevé chez un conducteur dans 23% des cas. Il existe plusieurs types de distracteurs (visuels, manuels, cognitifs ou auditifs) provenant de sources internes ou externes au véhicule. En particulier, l’errance mentale, c’est à dire le fait d’être perdu dans ses pensées, représente un danger significatif pour la sécurité routière. Des études révèlent que le défaut d’attention est présent dans 25 à 50% des accidents corporels, ce qui est énorme. Selon une analyse multifactorielle des causes d’accidents (ASFA) entre 2016 et 2020, l’inattention intervient dans 15 % des accidents mortels sur autoroute. Pour l’Organisation Mondiale de la Santé, l’utilisation du téléphone au volant quadruple le risque d’accident.

Quelles sont les mesures de sécurité essentielles à prendre sur les routes selon vous ?

Compte tenu du fait que 90 % des accidents sont générés par un dysfonctionnement lié à l’usager, il est essentiel de continuer de faire progresser les comportements par des opérations de sensibilisation et de prévention. On peut bien sûr continuer de communiquer sur les dangers de la vitesse excessive, de l’alcool ou de la drogue au volant. Mais cela ne suffira pas. L’évolution des technologies et des modes de mobilité génère de nouvelles situations accidentogènes.

Il y a bien sûr l’usage du téléphone au volant mais aussi les écrans multimédias dans les voitures qui apportent de nouvelles fonctionnalités aux conducteurs mais qui peuvent aussi générer une surcharge mentale dans certains cas. L’IHM de certains véhicules étant particulièrement complexe et surchargée, il y a urgence à simplifier le paysage !

Il est tout aussi essentiel de former les usagers aux spécificités des différents moyens de mobilité et aux mesures qui sont prises pour faciliter leur coexistence. Je suis frappé de voir que peu de personnes comprennent véritablement la fonction du sas cycliste et que beaucoup ignorent le montant de la sanction en cas d’occupation de la zone par une voiture ou un camion.

De même, limiter le débat de la sécurité routière au respect des limitations de vitesse est devenu contreproductif. Les grands excès de vitesse étant devenus l’exception, il faut maintenant concentrer nos efforts sur l’adaptation de la vitesse au contexte et aux limites du corps humain. Par exemple, un humain peut tolérer un choc avec une voiture moderne si la vitesse est au maximum d’environ 30 km/h. Si une vitesse plus élevée est souhaitée dans une zone urbaine, la seule solution viable est d’adapter les infrastructures en séparant les passages pour piétons de la circulation. Pour assurer la sécurité des occupants d’une voiture, la vitesse maximale des voitures modernes est d’environ 70 km/h en cas de choc frontal et de 50 km/h en cas de choc latéral. Les vitesses supérieures à 100 km/h ne peuvent être tolérées que si l’infrastructure est conçue pour empêcher les chocs frontaux et latéraux. Et la situation se complexifie avec le développement de l’usage des vélos, des trottinettes et autres mobilités douces.

Cycliste en milieu urbain

Comment PARIFEX aide-t-elle à renforcer la sécurité routière ?

Au cours des 15 dernières années, PARIFEX a livré plus de 500 radars automatiques pour faire respecter les limites mises en place pour assurer la sécurité des automobilistes et la fluidité du trafic. Nos activités d’innovation ont fait que nous avons été précurseurs, par exemple avec notre radar VIGIE double-face, dans de nouvelles technologies telles que l’identification du véhicule en infraction lorsque la route est à plusieurs voies, la classification du véhicule pour appliquer la limitation de vitesse correcte ou la prise de photos par l’avant et l’arrière du véhicule pour identifier également les véhicules deux roues en infraction.

Plus récemment, nous avons développé une solution multi infraction, le NOMAD, capable de contrôler tant le respect de la limitation de vitesse que le non franchissement du feu rouge.

PARIFEX NOMAD radar urbain

Cet équipement fonctionne de manière non invasive, sans qu’il soit nécessaire d’installer des boucles ou des bandes dans la chaussée du carrefour. La caméra surveille visuellement les têtes de signaux, ce qui signifie qu’il n’est pas nécessaire de connecter physiquement les feux de circulation au système de contrôle, ce qui constitue un avantage non négligeable pour les municipalités qui veulent s’en équiper.

Toutes ces solutions matures sont un soutien quotidien aux opérations de l’État pour améliorer le respect des règles du code de la route. Sans révéler de secrets, je peux vous dire que nos travaux s’orientent maintenant vers des technologies innovantes qui vont permettre d’améliorer encore les comportements responsables sur les routes pour faciliter la coexistence des camions, des voitures, des motos, des cyclistes, des piétons, etc. sur les routes. En parallèle de ces nouvelles fonctionnalités, nous travaillons aussi sur la préservation de la vie privée et l’efficacité énergétique de nos produits. L’utilisation d’un capteur LiDAR 3D pour détecter la présence de véhicules permet de n’activer notre caméra et notre projecteur infrarouge qu’en présence d’un véhicule en infraction, ce qui évite de filmer et d’inonder de lumière l’environnement en permanence. De même, nos cabines de radar sont équipées d’une double paroi qui permet une circulation efficace de l’air, éliminant ainsi le besoin de climatisation, même dans les climats très chauds. Cette conception spéciale permet de réduire considérablement la consommation d’énergie et donc de réduire les émissions de CO2.

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Égalité Femmes – Hommes : PARIFEX poursuit son engagement

Égalité Femmes Hommes PARIFEX

Des actions concrètes pour l'égalité Femmes - Hommes au sein de notre entreprise

Conformément aux dispositions légales, un plan d’actions a été institué en faveur de l’égalité Femmes – Hommes au sein de PARIFEX.

Ce plan a vocation de s’appliquer à l’ensemble de la société.

Notre objectif

Traduire l’engagement de la société à valoriser une culture d’entreprise soucieuse de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. 

La politique tourne autour de 5 grandes thématiques :

  • L’embauche
  • La formation professionnelle
  • La rémunération
  • L’évolution professionnelle
  • Le respect au quotidien

A la suite du calcul de l’indice pour 2022, la note globale attribuée est de 87/100.

Cette note se base sur les critères suivants :

  • L’indicateur d’écart de rémunération : 37/40
  • L’indicateur d’écart de taux d’augmentations individuelles : 35/35
  • Le pourcentage de salariés ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année suivant leur retour de congé maternité : 15/15
  • Le nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 0/10

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Usagers vulnérables sur la route, l’ONISR tire la sonnette d’alarme

Usagers vulnérables sur la route, l'ONISR tire la sonnette d'alarme

Selon le bilan de l’accidentalité routière en France en 2022, dévoilé par l’observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), les usagers de la route vulnérables à l’instar des cyclistes, des trottinettes et autres engins de déplacements personnels motorisés connaissent une hausse préoccupante du nombre d’accidents et de la mortalité. Zoom sur cette catégorie à risque dont le nombre d’usagers ne cesse d’augmenter.

Les usagers vulnérables sur la route en chiffres

D’un point de vue global, l’observatoire enregistre une baisse de 1,3% du nombre de blessés de toute gravité et de 1,9% des blessés graves en 2022 comparé à 2021 et 2019. La tendance est également à la baisse pour les usagers de deux-roues motorisées puisque le taux de mortalité baisse de 5%, notamment en agglomération.

Malheureusement, la tendance s’inverse pour les cyclistes et usagers de modes de déplacement personnels motorisés. En effet, l’ONISR tire la sonnette d’alarme sur l’augmentation préoccupante des accidents et de la mortalité pour les usagers les plus vulnérables. D’une part, les cyclistes connaissent une hausse de plus de 30% de la mortalité avec 244 tués, soit plus de 57 tués par rapport à 2019, et de la gravité des blessures de 13%, soit 2 600 victimes.

D’autre part, ce sont les usagers d’équipements motorisés tels que les trottinettes qui subissent une aggravation de l’accidentalité. En effet, ils sont 34 à avoir perdu la vie en 2022 contre seulement 10 en 2019. Quant aux blessures, les blessés graves passent de 400 en 2019 à 600 en 2022.

Le boom de la mobilité douce

Cycliste en milieu urbainLa pratique du vélo est en hausse à l’échelle nationale jusqu’à atteindre 33 % par rapport à 2019, dernière année avant les confinements et l’obligation de télétravail. Les trajets en vélo poursuivent leur tendance haussière puisqu’ils augmentent de 28% par rapport à 2021*. 

Les diverses aides de financement de l’état et les actions mises en place par les collectivités telles que les vélos en libre accès ont contribué à l’explosion du nombre de cyclistes sur les routes. Cependant, le danger s’étend au-delà des villes puisque la pratique cycliste hors agglomération accuse également un bond préoccupant de 47 % de la mortalité et de 22 % du nombre de blessés graves par rapport à 2019.

Autre sujet mais pas des moindres, la progression de l’utilisationLa trottinette parmi les usagers vulnérables des trottinettes électriques à travers le territoire qui compte désormais plus de deux millions d’utilisateurs. Face, entre autres, à l’augmentation des prix du carburant, la trottinette est apparue comme une solution rapide, pratique et surtout à moindre coût pour les trajets quotidiens. Pourtant, elle reste un moyen de déplacement controversée et rencontrent de nombreux écueils comme la mise en place d’une règlementation, de voies de circulation dédiées, etc.

Situation stable pour les piétons

Contrairement aux chiffres préoccupants présentés précédemment, la hausse ne se confirme pas pour les piétons dont les chiffres restent stables et prévoient même une baisse de 13% entre 2019 et 2022.

Enfin, le fossé se creuse entre les accidents de piéton en région urbaine et extra-urbaine puisque la mortalité croît davantage hors agglomération, un quart des piétons y ont trouvé la mort, contrairement aux accidents mortels en agglomération qui sont, pour leur part, à la baisse.

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