EcoVadis récompense PARIFEX pour son engagement RSE

Médaille Ecovadis
« Nous sommes profondément convaincus que la réussite d'une entreprise ne se mesure pas uniquement par ses résultats financiers, mais aussi par l'impact qu'elle a sur ses collaborateurs, ses clients et la planète. C'est pour cela que nous ne transigeons pas sur les pratiques éthiques et responsables. Nous mettons un point d'honneur à garantir un environnement de travail inclusif, où l'égalité, la transparence et le respect de chacun sont au cœur de notre culture d'entreprise. »
Franck Peyré
Président de PARIFEX

PARIFEX est fière de se voir décerner sa toute première médaille EcoVadis qui vient récompenser les nombreuses actions mises en place par l’entreprise en matière de Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE).
Première reconnaissance d’une longue série, le fabricant français de radars multifonctions décroche la médaille d’argent. Ainsi, PARIFEX se place, dès son entrée dans le classement, dans le Top 15 % des entreprises évaluées dans la base de données EcoVadis au cours des douze derniers mois.

Un quatuor d’engagement

L’évaluation menée par Ecovadis porte sur quatre thèmes principaux :

La médaille EcoVadis vient attester de la démarche positive adoptée par les entreprises évaluées à mesure qu’elles œuvrent pour améliorer leurs performances de gestion RSE et générer un impact positif. 

PARIFEX renforce chaque année son engagement en matière de Responsabilité sociétale des entreprises à travers de nombreuses initiatives centrées sur le bien-être de ses collaborateurs comme la formation aux premiers secours, aux risques psychosociaux, ou encore au harcèlement, l’organisation de temps forts tels que la Semaine de la qualité de vie au travail, des challenges sportifs, etc.

L’entreprise veille également à intégrer, à chaque étape de ses projets, une démarche responsable afin de limiter son impact environnemental. Cela se traduit, entre autres, par l’optimisation des flux de fret, le recyclage des emballages et la réduction de la consommation électrique des radars, des projets et des bureaux.

Enfin, le développement d’une culture d’entreprise inclusive et éthique repose sur la diversité et la tolérance, valeurs fortes pour l’entrepreneur français.

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Et vous, quelle femme êtes-vous au volant ?

Conduite des femmes au volant
"L’adage, que tout le monde connaît, sous-entend que la conduite des femmes est dangereuse. En fait, c’est complètement l’inverse !"
Claire Legrand
Claire Legrand
Responsable affaires sécurité routière

Conduite des femmes : et vous, quelle femme êtes-vous au volant ?

Selon plusieurs études, les hommes sont plus impliqués dans des accidents graves que les femmes. Pouvez-vous nous en dire davantage ?

Les statistiques sont constantes depuis 2018 et montrent clairement que les hommes sont largement plus impliqués dans les accidents graves sur la route. En effet, à kilomètres parcourus équivalents, les hommes représentent 88,7 % des décès liés aux accidents de la route, un chiffre impressionnant. Cette tendance se retrouve également parmi les blessés graves, puisque 75 % des victimes sont des hommes. Et surtout, 84 % des présumés responsables d’accidents mortels sont des hommes, ce qui représente une part alarmante.

Selon vous, existe-t-il des différences notables entre les comportements des femmes et des hommes au volant qui expliqueraient cette différence ?

Tout à fait, les femmes ont généralement une conduite moins à risque que les hommes, elles respectent davantage les règles de conduite comme les limitations de vitesse et les autres usagers de la route, et d’un point de vue général, elles adoptent une conduite moins agressive. Elles sont également plus prudentes dans leurs actions et ont tendance à éviter les comportements dangereux, comme l’usage du téléphone au volant, véritable fléau comme nous le savons, ou la conduite sous l’influence de l’alcool ou des stupéfiants.

Cette différence est influencée par des facteurs sociaux qui incitent les hommes à adopter une conduite plus agressive. En effet, les hommes sont plus sûrs d’eux et prennent parfois des risques, en pensant maîtriser leur véhicule et l’environnement. Ils sont pressés, se font passer avant les autres et ont du mal à rester calmes au volant.

Justement, on entend souvent dire que les femmes sont plus prudentes et les hommes plus agressifs sur la route. Quelle est votre opinion sur ces stéréotypes ?

C’est vrai que l’adage que tout le monde connait sous-entend que la conduite des femmes est dangereuse. En fait c’est complètement l’inverse ! Alors d’où viendrait ce dicton ? Des sociologues expliquent qu’une raison vraisemblable est que les hommes ont peur depuis longtemps que les femmes sortent du monde domestique et que ces stéréotypes sont une façon de freiner leur émancipation.

On peut en effet s’interroger sur l’impact que ces stéréotypes peuvent avoir sur la confiance des femmes et donc fatalement sur leur performance de conduite. Il est donc vraiment primordial de s’employer à faire disparaître ces stéréotypes néfastes.

La vitesse excessive est l’un des principaux facteurs d’accidents. Avez-vous remarqué une différence dans la manière dont les hommes et les femmes abordent la conduite à grande vitesse ?

En général, les hommes sont plus enclins à dépasser les limitations de vitesse, ce qui est souvent lié à un désir de dominance, de démonstration de pouvoir sur la route et d’impression d’être en contrôle. Plusieurs études montrent qu’ils sont plus susceptibles de dépasser les limites de vitesse, en particulier sur autoroute. De plus, les hommes conduisent généralement des modèles de voiture puissants, toujours le reflet de leur propre puissance. A l’inverse, comme je le disais précédemment, les femmes tendent à être plus prudentes et calmes et à respecter davantage les limitations de vitesse.

Selon vous, la culture sociale et l’éducation jouent-elles un rôle dans la manière dont les hommes et les femmes conduisent ?

Bien sûr, nous collons des étiquettes sur les genres, les hommes aiment la vitesse, les femmes ont peur et conduisent des petites voitures. C’est d’ailleurs sur cette vague qu’a surfé la fameuse Twingo de Renault, la petite voiture citadine idéale pour la ménagère et ses déplacements urbains rapides. Mettons un terme à ces stéréotypes ! Combien de fois entendons-nous dire que les femmes, parce qu’elles sont petites, ne sont pas capables de conduire une grosse berline. Et combien d’hommes ne veulent surtout pas prêter leur grosse voiture à leur femme de peur qu’elle n’y arrive pas. Ce sont des décennies de clichés qui pèsent sur les femmes et qui ont des impacts négatifs très concrets.

Dans votre propre expérience au volant, quelles sont les principales différences que vous avez observées dans l’attitude au volant entre des conducteurs hommes et femmes, et tout particulièrement dans des situations de stress ?

De mes observations personnelles, ce sont souvent des hommes qui se permettent de griller des files entières de véhicules par la bande d’arrêt d’urgence ou de couper des priorités, notamment à des usagers vulnérables. Ils sont aussi beaucoup plus agressifs en cas de désaccord et il m’arrive parfois d’avoir peur pour ma sécurité immédiate.

Selon vous, quelles actions pourraient être mises en place pour améliorer la sécurité routière, en prenant en compte les différences de comportements entre hommes et femmes ?

Le rang des actions à mettre en place est large. Tout d’abord, les campagnes de sensibilisation devraient être plus ciblées, en particulier pour les hommes, sur les dangers de la vitesse excessive et de la consommation d’alcool et de stupéfiants et leurs conséquences. De plus, je suis convaincue que la formation à la conduite doit évoluer, il est crucial de dire stop à la compétition homme versus femme dans les auto-écoles et d’adopter une approche plus inclusive. Des ateliers de gestion du stress et de l’agressivité afin d’aider tous les conducteurs à mieux gérer les situations stressantes sur la route devraient être intégrés dans les parcours de formation. Enfin, il est essentiel de former les deux genres aux dangers liés aux nouvelles technologies, comme l’utilisation du smartphone ou la manipulation des écrans intégrés aux véhicules, qui représentent de plus en plus un risque de distraction au volant.

Mais plus globalement, il faut agir sur l’ensemble de la sociabilisation, arrêter de valoriser la prise de risque et l’agressivité mais au contraire valoriser des qualités qui sont aujourd’hui dites « féminines » à savoir : le calme, l’attention aux autres, la courtoisie et la prudence.

Comment imaginez-vous que les comportements au volant évolueront à l’avenir, en tenant compte des changements sociaux et technologiques ?

La Direction de la Sécurité routière s’est saisie de la problématique et s’est engagée notamment à former et sensibiliser les professeurs et inspecteurs du permis de conduire aux biais de genre. Différentes campagnes de sensibilisation et de nombreux articles sur le sujet sont parus récemment.

Il faut continuer sur ces actions qui ont des effets à court terme, mais il faut aussi travailler sur la sociabilisation dès l’enfance pour favoriser pour tous une conduite calme, respectueuse et prudente, pour assurer la sécurité et sérénité de tous les usagers.

Et si cela ne suffit pas, PARIFEX pourra travailler sur le développement d’un radar détecteur d’homme au volant (rires, NDLR) !

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Seniors sur la route : comment rouler en toute sécurité ?

Seniors sur la route : comment rouler en toute sécurité ?

Avec l’âge, notre manière de conduire évolue. Plus craintifs que les jeunes conducteurs, les seniors sur la route restent pourtant plus vulnérables en cas d’accident. Selon le bilan de l’accidentalité effectué par l’ONISR (Observatoire national interministériel de la sécurité routière), en 2024, 527 personnes âgées de 75 ans et plus ont perdu la vie sur les routes françaises. Si leur implication dans les accidents est relativement modérée, leur fragilité physique fait grimper le taux de mortalité, 1,5 fois supérieur à celui des autres tranches d’âge.

Alors, comment mieux protéger nos aînés sur la route ?

Des blessures plus graves, un risque plus élevé

En cas d’accident, les conséquences sont souvent plus lourdes pour les seniors. Mais pourquoi ?

Etant plus fragiles, les blessures sont plus graves et la récupération plus compliquée. Ce qui pourrait être une simple contusion chez un jeune conducteur peut rapidement devenir une urgence vitale pour une personne âgée. Le vieillissement entraîne également une baisse des réflexes, une diminution de la vision et parfois une altération de l’audition, ce qui allonge le temps de réaction. Lorsqu’un freinage brusque ou un obstacle imprévu survient, la marge de manœuvre est donc plus réduite, augmentant ainsi le risque d’accident. Par ailleurs, certaines maladies chroniques comme les troubles cardiaques ou le diabète peuvent altérer la capacité à bien conduire, tout comme certains traitements médicaux qui affectent la vigilance et les réflexes.

Selon l’ONISR, en 2024, environ 1 300 seniors ont été gravement blessés sur la route, un chiffre en hausse de 7 % par rapport à 2023. Ce signal d’alarme rappelle l’importance d’adapter leur conduite et leur environnement routier.

Hors agglomération : un danger sous-estimé

Senior sur la route piétonContrairement à ce que l’on pourrait penser, les seniors sont autant en danger en ville que sur les routes hors agglomération, où les vitesses sont plus élevées et les marges d’erreur plus réduites. 50% des piétons tués et 51% des cyclistes tués sur les routes secondaires sont âgés de 65 ans ou plus, selon l’ONISR. Bien que la mortalité hors agglomération ait diminué entre 2023 et 2024, le taux reste élevé.

Sur ces routes, le temps de réaction devient un facteur clé. La signalisation y est parfois plus complexe, avec des intersections moins visibles et des voies mal séparées, rendant la prise de décision plus difficile pour un conducteur plus âgé. Avec le temps, l’évaluation des distances devient également plus délicate. Estimer la vitesse d’un autre véhicule ou juger la distance nécessaire pour effectuer un dépassement peut devenir plus approximatif, ce qui augmente le risque de manœuvres dangereuses.

Seniors sur la route, comment garantir leur sécurité ?

Il ne s’agit pas de leur retirer leur permis, mais plutôt de leur permettre de conduire dans des conditions optimales de sécurité. Mais quelles sont ces solutions ?

Des bilans médicaux réguliers, comme le préconise Cap Retraite, permettraient de suivre de plus près l’évolution des capacités visuelles et auditives, ainsi que des réflexes afin d’anticiper d’éventuelles difficultés. Une signalisation améliorée, avec des panneaux plus lisibles et des marquages au sol renforcés pourrait également faciliter la conduite et réduire les erreurs, comme le souligne Silver Éco.

Du côté des véhicules, les nouvelles technologies offrent des aides précieuses à la conduite. La détection des angles morts, le freinage automatique d’urgence ou encore l’assistance au maintien de voie permettent de compenser certains réflexes moins vifs et d’éviter de nombreux accidents, selon la Sécurité Routière. Enfin, des formations adaptées, comme le recommande l’association Prévention Routière, offriraient aux seniors l’opportunité de mettre à jour leurs connaissances et de mieux appréhender les évolutions du code de la route.

Parce que bien vieillir, c’est aussi continuer à rouler en toute sécurité !

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[INFOGRAPHIE] Bilan de l’accidentalité en France en 2024

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L’ONISR dévoile le bilan de l’accidentalité routière en France en 2024

Bilan de l'accidentalité routière

L'Observatoire national interministériel de la sécurité routière dévoile le bilan provisoire de l'accidentalité routière en France en 2024

Les chiffres provisoires de l’accidentalité routière, en France, en 2024, ont été présentés par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR).

♦ Le bilan de l’accidentalité routière déclare une hausse de la mortalité routière en France métropolitaine et une baisse des blessés et blessés graves ♦

Parmi les principaux résultats, l’ONISR déclare que :

  • 3 190 personnes sont décédées en 2024 sur les routes de France métropolitaine. Ce bilan est en hausse de près de 1% par rapport à 2023.
  • 233 000 personnes ont été blessées, dont 16 000 grièvement, une baisse de 0,8 et 0,6% par apport à 2023.
  • Les routes hors agglomération restent les plus dangereuses avec 1 928 tués contre 1 020 en agglomération et 242 sur autoroute.
  • Les usagers vulnérables représentent 45% des décès et 65% des blessés graves.
  • Les automobilistes restent les principales victimes puisque 1 535 personnes ont perdu la vie en voiture, soit 23 de plus qu’en 2023*.

*www.securite-routiere.gouv.fr

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Sécurité routière, les petites et grandes agglomérations se mettent en route

Radars et collectivités : objectif sécurité routière dans les petites et grandes agglomérations

Dans nos villes et agglomérations, les occasions d’enfreindre la sécurité routière et le code de la route sont nombreuses étant donné la grande diversité de moyens de transport qui cohabitent entre eux. Cet environnement complexe exige que tous les usagers respectent les règles du code de la route afin de réduire, si ce n’est d’éviter, les accidents. Malheureusement, cela est encore loin d’être le cas. Claire Legrand, responsable affaires sécurité routière à PARIFEX, fait le point sur les défis qui attendent les agglomérations dans la transition de la mobilité.

Le Bilan de l’accidentalité en France, réalisé chaque année par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), déclare que près de 3 500 personnes sont décédées sur les routes de l’hexagone en 2023. « Bien que ce chiffre soit en baisse de 4,2% par rapport à l’année précédente, neuf conducteurs sur dix avouent dépasser régulièrement la vitesse maximale autorisée de quelques kilomètres par heure et les causes d’accidents évoluent, laissant place à d’autres types de comportements dangereux », explique Claire Legrand, responsable affaires sécurité routière chez PARIFEX.

Vitesse excessive, mais aussi fatigue, usage du téléphone, des tableaux de bord tactiles, etc., notre attention est happée par un grand nombre de distractions qui font dangereusement quitter les yeux de la route. Le danger reste bel et bien présent et ne tend pas à disparaître, notamment à cause de l’usage du téléphone au volant qui multiplie aujourd’hui par 23 le risque d’accident. Augmentation du temps de freinage, trajectoire irrégulière, vitesse trop élevée ou trop basse, freinage brusque…, sont autant de comportements imprudents pour le conducteur et les usagers autour de lui.

En tant que leader dans la fabrication de radars automatiques de vitesse et de franchissement innovants basés sur la technologie LiDAR 3D, PARIFEX se donne pour mission d’accompagner les collectivités dans la transition de la mobilité.

Et la responsable affaires sécurité routière de préciser, « Il était évident pour PARIFEX de profiter de ce grand événement qu’est le Salon des maires et des collectivités locales pour faire passer des messages en matière de sécurité routière. D’une part, c’est l’occasion de dresser, ensemble avec les agglomérations, l’état des lieux de la lutte contre l’insécurité routière et d’autre part, de revenir sur l’implantation de radars automatiques rendue possible par la loi 3DS pour les agglomérations, quelle que soit leur taille. »

Parce que la sécurité sur la route et au cœur des villes n’est pas une option, des solutions existent afin de favoriser le partage de la chaussée entre les différents usagers et de faire de chaque environnement un espace sûr, agréable et accueillant où il fait bon se déplacer. « La loi 3DS est une avancée majeure pour les collectivités qui disposent de nouveaux moyens pour prendre à bras le corps le sujet de la sécurité routière et agir contre les trop nombreux accidents de la route. », conclut Claire Legrand.

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[Conférence – Salon des maires] Loi 3DS et radars collectivités : objectif sécurité routière

Vous êtes curieux d'en savoir plus sur la loi 3DS et la possibilité pour les collectivités de se doter de radar de vitesse et de franchissement feu rouge ?

Rejoignez-nous à l’occasion de notre conférence sur le thème :

Radars collectivités et loi 3DS : objectif sécurité routière dans les petites et grandes agglomérations

Loi 3DS et radars collectivités

Leader dans la fabrication de radars automatiques de vitesse et de franchissement innovants basés sur la technologie LiDAR 3D, PARIFEX se donne pour mission d’accompagner les collectivités dans la transition de la mobilité. A travers cette conférence, nous vous proposons de faire une actualisation de l’état des lieux de la lutte contre l’insécurité routière, et notamment l’implantation de radars automatiques, rendues possibles par la loi 3DS pour les agglomérations, quelle que soit leur taille.

Dans nos villes et agglomérations, les occasions d’enfreindre le code de la route sont nombreuses étant donné la grande diversité de moyens de transport qui cohabitent entre eux. Cet environnement complexe exige que tous les usagers respectent les règles du code de la route pour éviter les accidents. Malheureusement, cela est encore loin d’être le cas.

Parce que la sécurité sur la route et au cœur des villes n’est pas une option, des solutions existent afin de favoriser le partage de la chaussée entre les différents usagers et de faire de chaque environnement un espace sûr, agréable et accueillant où il fait bon se déplacer.

Atmosphère Mobilités décarbonées – Pavillon 4 – Paris – Porte de Versailles

Mardi 19 novembre 2024 – 14h30 – 15h15

A retrouver sur le salon...

COMPAS, radar compact pour le contrôle de la vitesse

NOMAD, radar leurre multi-infractions

Pour nous rencontrer sur le salon...

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Rendez-vous au Salon des maires et des collectivités locales – édition 2024

Venez rencontrer nos équipes à l'occasion du Salon des maires 2024

Cette année encore, nous vous donnons rendez-vous au Salon des maires et des collectivités locales 2024.

Stand F30 – Pavillon 4 Transports & Mobilité l Paris – Porte de Versailles

Du 19 au 21 novembre 2024

Le SALON DES MAIRES ET DES COLLECTIVITÉS est un lieu propice à la CONSTRUCTION COLLECTIVE où les maires, leurs équipes, les acteurs des secteurs public & privé et le monde associatif collaborent au quotidien pour relever les défis urgents auxquels sont confrontés les collectivités.

Ne manquez pas notre conférence

"Radars collectivités et loi 3DS : objectif sécurité routière dans les petites et grandes agglomérations"

A découvrir sur le salon...

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NOMAD, le radar pour le contrôle de la vitesse et du franchissement de feu rouge

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Comportements dangereux, ou comment résister à la tentation de la notification​

Comportements dangereux, ou comment résister à la tentation de la notification

En 2023, le nombre de personnes décédées et blessées, grièvement ou non, sur les routes de France est en baisse par rapport à 2022. Une baisse sensible, certes, mais dont nous pouvons tout de même nous réjouir. Pourtant, nous faisons, chaque jour, face à des comportements dangereux, que ce soit en ville, hors agglomération ou sur autoroutes.

La mortalité en baisse sur nos routes

C’est une bonne nouvelle dont il ne faut pas se priver : le nombre de personnes ayant perdu la vie sur les routes de France métropolitaine baisse de 3 % par rapport à 2022, soit quelque 3 000 personnes*. En outre, le nombre de blessés graves diminue de -2% par rapport à l’année précédente, soit 16 000 personnes.*

Sans surprise, les routes hors agglomération restent celles sur lesquelles on dénombre la majorité des accidents fatals puisqu’elles enregistrent 59% des décès*.

Enfin, l’autoroute reste le lieu de tous les dangers où le nombre de décès augmente de 4%, principalement des motocyclistes, des piétons et des poids lourds*.

Stop aux comportements dangereux

Ils sont 9 conducteurs sur 10 à avouer dépasser régulièrement la vitesse maximale autorisée de quelques km/h. Pour 16 % d’entre eux, cette infraction a même déjà failli tourner au drame**. C’est un fait, les comportements dangereux restent l’une des principales causes d’accidents. 

Vitesse excessive, mais aussi fatigue, usage du téléphone, des tableaux de bord tactiles, etc., notre attention est happée par pléthore de distractions qui nous font dangereusement quitter les yeux de la route. Et la tentation est grande lorsque que les notifications ne cessent de retentir. Le danger est-il si important alors que je suis coincé dans les embouteillages ? Et si je jetais juste un œil ? 

Malheureusement, le danger est bien présent. L’usage du téléphone au volant multiplie par 23 le risque d’accident. Augmentation du temps de freinage, trajectoire irrégulière, vitesse trop élevée ou trop basse, freinage brusque…, sont autant de comportements imprudents pour le conducteur et pour les usagers autour de lui.

Dissuader pour mieux protéger

Mieux vaut prévenir que guérir, c’est bien connu. Telle est la mission des radars, qu’il s’agisse d’un radar pédagogique, de vitesse ou de franchissement de feu rouge. Ils ont avant tout un rôle préventif. Placés dans des zones accidentogènes, les radars permettent aux conducteurs de prendre conscience non seulement de leur vitesse, mais aussi du danger auquel ils s’exposent, et exposent les autres conducteurs, lorsqu’ils dépassent la vitesse autorisée. C’est avant tout une solution dissuasive destinée à influencer les comportements, un radar pédagogique ou non fait instantanément ralentir les conducteurs. Et la connaissance même de la présence d’un radar dans une zone permet déjà de faire ralentir les riverains.

Tous ont un objectif commun, celui d’assurer la sécurité et de rendre les zones moins accidentogènes.

*Bilan de l’accidentalité 2023 établi par l’ONISR.

**Fondation Vinci Autoroutes

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L’ONISR dévoile le bilan de l’accidentalité routière en France en 2023

Bilan de l'accidentalité routière

L'Observatoire national interministériel de la sécurité routière dévoile le bilan provisoire de l'accidentalité routière en France en 2023

Les chiffres provisoires de l’accidentalité routière, en France, en 2023, ont été présentés par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR).

♦ Le bilan de l’accidentalité routière déclare une baisse de la mortalité routière en France métropolitaine, ainsi qu’en outre-mer ♦

Parmi les principaux résultats, l’ONISR déclare que :

  • 3 402 personnes sont décédées en 2023 sur les routes de France métropolitaine ou d’outre-mer (estimation ONISR au 22/01/2024). Ce bilan est inférieur de – 4,2 % par rapport à 2022 et de – 2,7 % par rapport à 2019, année référence sur la décennie 2020-2030.
  • En France métropolitaine, il est estimé que 3 170 personnes sont décédées en 2023, un résultat inférieur à 2022 (- 3,0 %) et à 2019 (- 2,3 %).
  • La mortalité routière est en baisse outre-mer. Elle est estimée à 232 tués en 2023, contre 283 tués en 2022 et 254 tués en 2019.*

*www.securite-routiere.gouv.fr

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