Nos certificats ISO 9001 et 14001 sont renouvelés

ISO 9001 et 14001 : renouvellement des certificats de PARIFEX pour le système de management de la qualité et l'environnement

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Nous sommes fiers de voir nos certificats ISO 9001 et 14001 renouvelés avec succès pour les trois prochaines années.

Ils attestent de la qualité de notre savoir-faire et de notre engagement à répondre au mieux aux attentes de nos clients, tout en améliorant notre performance environnementale.

ISO 9001 : nos engagements pour la qualité

  • Renforcer la satisfaction de nos clients et la mesurer à travers nos différentes enquêtes réalisées tout au long de l’année 
  • Obtenir l’homologation de nos produits
  • Renforcer notre politique de ressources humaines
  • Mettre en place un Plan de reprise de l’activité afin de consolider la sécurité de nos systèmes

ISO 14001 : nos engagements pour l'environnement

  • Améliorer nos performances environnementales et celles de notre système
  • Mettre en place un bilan carbone de l’entreprise et son suivi annuel
  • Prévenir des pollutions en cas de situation d’urgence
  • Optimiser la consommation électrique de nos équipements

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Transports publics : quels défis pour les années à venir ?

Claire Legrand, cheffe de projet à PARIFEX, revient sur les défis du secteur des transports publics pour les années à venir.

Selon vous, quels sont les principaux défis qui attendent les transports publics en matière de gestion de trafic ?

Actuellement, le principal challenge reste l’amélioration de la sécurité routière pour tous les usagers. L’OMS a défini la vitesse comme facteur clé de risque, tant pour le risque d’accident que pour la gravité des blessures. La vitesse est responsable de 30% à 50% des accidents mortels sur la route. Et cette corrélation entre vitesse et gravité des blessures est encore plus critique lorsqu’il s’agit d’usagers vulnérables comme les piétons ou les cyclistes. Les solutions de contrôle de vitesse efficaces sont donc le moyen efficace de réduire la mortalité sur les routes. Et il est d’autant plus efficace quand vous pouvez adapter les niveaux de vitesse selon les conditions, autrement dit quand le risque est plus élevé, comme par temps de pluie, d’embouteillages, selon la catégorie du véhicule, etc. Une fois la sécurité des usagers garantie, le plus important sera d’améliorer l’expérience utilisateur pour l’ensemble des voyageurs et des habitants.

Nous sommes également convaincus que nous faisons face à un défi écologique de taille pour les années à venir. Selon les Nations Unies, 68% de la population mondiale vivra en ville d’ici 2050, augmentant ainsi le nombre de véhicules, de flux de trafic et inévitablement d’embouteillages. Le challenge sera donc d’être capable de réduire les embouteillages mais aussi la pollution sonore tout en améliorant les flux de trafic et l’assistance à la conduite. Chez PARIFEX, nous sommes conscients de ces challenges et voulons prendre part à cette évolution en aidant les collectivités locales et les gouvernements à construire une offre de transport plus sûre et plus respectueuse de l’environnement.

Quelles solutions PARIFEX propose-t-elle pour relever ces défis ?

PARIFEX offre des systèmes multifonctionnels capables de répondre à tous ces challenges à la fois. Conçus pour le contrôle du respect des limitations de vitesse et des feux rouges, nos solutions permettent également de collecter des données destinées à l’amélioration de la gestion de trafic : matrice origine-destination, comptage haute précision et statistiques.

Ils permettent un mapping complet des flux de trafic urbains afin de réduire les embouteillages et ainsi les émissions de CO2. De plus, le confort des usagers en est amélioré puisqu’ils bénéficient d’un voyage fluide et agréable.

Concernant nos solutions, nous avons fait le choix de combiner la technologie LiDAR 3D avec la caméra pour un système innovant capable de résister aux diverses conditions climatiques, d’analyser les données en temps réel grâce à un temps de traitement rapide, de détecter les couleurs, etc. Notre capteur NANO-CAM fournit des données précises et peut être paramétré selon les besoins. Ainsi, vous pouvez adapter la limitation de vitesse selon la catégorie du véhicule détecté et la voie sur laquelle il se trouve, ainsi que d’autres paramètres comme la météo ou les embouteillages. Compact, léger et doté d’une interface ergonomique et intuitive, c’est un vrai couteau-suisse qui facilite le quotidien de l’opérateur.

Quels sont les objectifs de PARIFEX à long terme pour le secteur des transports publics ?

Comme toute société, PARIFEX a un rôle à jouer dans la protection de l’environnement. Pour cela, nous sommes déjà impliqués dans une démarche éco-responsable qui se matérialise par la mise en place d’une politique environnementale pour nos produits, nos partenaires et nos clients. Nous sommes également engagés dans la mesure de notre bilan carbone, la promotion des bonnes pratiques au quotidien, etc. Et nos produits sont concernés par cette politique que nous menons depuis plusieurs années maintenant. Nous souhaitons aider le secteur des transports publics à bâtir un monde meilleur et plus sûr où chacun d’entre nous dispose d’un espace sûr et respecté : piétons, cyclistes, trottinettes, véhicules légers, poids lourds, bus… Et bien sûr, nous voulons nous assurer que chacun puisse se déplacer selon ses besoins et ses contraintes en harmonie avec l’environnement.

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Rendez-vous au Salon des maires 2021

Retrouvez-nous au Salon des maires 2021 !

PARIFEX est ravie d’exposer, pour la première fois, au Salon des maires 2021 !

Paris – Porte de Versailles

Du 16 au 18 novembre 2021

Stand B22 – pavillon 3

Le Salon des Maires et des Collectivités Locales, en partenariat avec l’AMF depuis près de 20 ans et en concomitance avec le Congrès des Maires de France et des Présidents d’intercommunalité rassemble :

> 800 exposants

> 58 000 participants

> +200 prises de parole

A découvrir...

NANO-CAM, système de contrôle de la vitesse et de comptage

NOMAD, le radar urbain multi-infractions

Salon des maires 2022 logo

Pour nous rencontrer au salon...

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Radars urbains : les premiers Nomad installés dans le Doubs

L'expérimentation des radars urbains Nomad débute

Parifex a installé les premiers Nomad dans trois communes du Doubs. Cette expérimentation s’inscrit dans le cadre du marché lancé par le ministère de l’Intérieur pour le déploiement de radars urbains dans l’hexagone et remporté par Parifex en 2018 pour le Nord de la France.

Les expérimentations sont désormais en cours avant le déploiement d’ici mi-2022.

Découvrez le Nomad, notre radar conçu pour les espaces urbains

Conçu pour être intégré dans un environnement urbain, le NOMAD permet de détecter de multiples infractions, tels que le contrôle de la vitesse et le franchissement du feu rouge, grâce à son système de tracking en double-sens et la combinaison du LiDAR 3D et de la caméra, système développé pour le Nano-Cam par Parifex. Il permettra, à terme, de contrôler également les franchissements de stop, le non-port de la ceinture, l’utilisation du téléphone au volant, le respect des priorités, etc.

Le NOMAD s’installe directement sur tout type de mobilier urbain : mât, candélabre, bâtiment, etc. Grâce à son design épuré, il se fond dans l’environnement. De plus, il est non-intrusif et ne nécessite pas d’être connecté à un feu tricolore.

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Energies renouvelables locales : et si nous devenions notre propre producteur d’énergie ?

Alors que la part des énergies renouvelables devra représenter au moins 23% en 2020 et au moins 32% en 2030 de la consommation totale d’énergie finale en France¹, les territoires ont désormais un rôle à jouer dans la transition énergétique. La production d’énergies renouvelables locales et la diversification des sources d’énergie sont un atout majeur pour le territoire et les consommateurs qui profitent d’une énergie verte à moindre coût. Géothermie, éolien, biomasse, etc., assurent une production au plus près de la consommation et des réalités locales, en fonction des ressources et spécificités du territoire. La production d’énergie renouvelable, troisième pilier de la transition énergétique, représente un enjeu majeur pour les collectivités mais aussi pour les entreprises. En effet, pour que les bénéfices de la production d’énergie reviennent aux territoires, il faut que cette production soit locale.

Une production d’énergies renouvelables locales adaptée besoins des consommateurs

Les différents types de productions d’énergies renouvelables sont la filière hydraulique, l’éolienne, le photovoltaïque et les bioénergies. Les collectivités doivent tenir compte des caractéristiques de leur territoire afin de produire une énergie renouvelable adaptée à l’usage et dans le bon cadre juridique. Trois vecteurs ressortent des énergies renouvelables :

  1. Électrique (ex : photovoltaïque, éolien) ;
  2. Thermique (ex : bois, solaire) ;
  3. Gaz (ex : méthanisation).

Pour cela, un diagnostic territorial est primordial pour avoir une vue d’ensemble des acteurs économiques locaux, des filières déjà présentes sur le territoire ou encore des différentes sources d’ingénierie. Les projets de production d’énergie renouvelable coopérative et citoyenne sont un moyen de développer la gouvernance territoriale, de favoriser la co-construction et l’appropriation des enjeux par les citoyens.

C’est un fait, produire de l’électricité aujourd’hui représente un coût élevé de production, d’acheminement, etc., et nécessite de grandes surfaces de terrain. Et si la solution était de créer de petites centrales de production au plus près des utilisateurs ? Ainsi, tout le monde peut devenir producteur d’énergie. C’est déjà le cas dans certains départements comme l’Essonne où les habitants sont encouragés à mettre en place des solutions de production d’énergies renouvelables locales. Certains quartiers misent désormais sur l’exploitation de la géothermie et le solaire, ils ont déployé des panneaux solaires destinés à chauffer l’ensemble des foyers. Ainsi, la production est assurée en fonction des besoins réels. Elle présente également un véritable intérêt pour les fournisseurs d’énergie en termes de coût puisque seule l’énergie nécessaire est produite. Quant à l’énergie non utilisée, elle est redistribuée via les circuits traditionnels.

Quid des entreprises ?

Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à engager une réflexion sur leur consommation d’énergie et à envisager de produire leur propre énergie renouvelable. C’est d’ailleurs l’un des enjeux majeurs de la règlementation sur le bilan carbone neutre qui les obligent à réaliser un bilan carbone afin de réduire leur impact sur le changement climatique². Véritable prise de conscience, le bilan carbone est la première étape indispensable pour initier une politique de contrôle et de réduction de l’impact de l’entreprise sur le changement climatique. Afin de les soutenir dans cette démarche, le Fonds Chaleur de l’ADEME a été mis en place afin de financer des projets de production de chaleur par les entreprises, à partir d’énergies renouvelables³.

Certaines compagnies ont déjà passé le cap de la production d’électricité locale. C’est notamment de l’oléoduc algérien LR1 en cours de rénovation, équipé de panneaux solaires destinés à produire l’énergie nécessaire suffisante à son fonctionnement.

PARIFEX aide les entreprises en France et à l’étranger à se doter de systèmes d’autoproduction à travers la recherche, la fourniture et l’installation d’équipements adaptés.

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NEWSLETTER N°3 – Edito de Franck Peyré, PRÉSIDENT de PARIFEX

Cher partenaire,

L’année 2021 est déjà bien avancée et ce premier semestre n’a pas perdu son dynamisme. Plus d’un an après le début de la crise sanitaire, nous sommes heureux de pouvoir assurer la même qualité de service tout en maintenant le télétravail pour nos collaborateurs. Nous avons d’ailleurs entamé des discussions avec les représentants du personnel afin de pérenniser le télétravail et ainsi favoriser un rythme de travail mieux adapté aux besoins de chacun.

Ce premier semestre a également vu le titanesque chantier iranien BidBoland se clôturer officiellement. Considérée comme la plus grande raffinerie de gaz du Moyen-Orient, elle offre plus de 1 000 kilomètres de conduites d’alimentation et de transmission. Nous sommes fiers d’avoir pris part à cet ambitieux projet pour la partie ingénierie et intégration de système de contrôle et de sécurité aux côtés de notre partenaire Sazeh Consultants. Mais si c’est une page qui se tourne, une autre s’ouvre sur l’avenir du secteur pétrolier qui fait plus que jamais face à de nombreux défis et offre de nombreuses opportunités.

Quel plaisir également de constater que les temps forts dédiés à la mobilité reprennent. Il y a quelques semaines, la mobilité durable a rayonné en France et à l’international à l’occasion du salon Autonomy Digital. Cette édition 2.0 a su rassembler les professionnels des transports, de tous horizons, partageant le même objectif, celui de redessiner avec les citoyens les contours de la mobilité. Et l’année n’est pas terminée puisque nous aurons l’occasion de nous retrouver dans quelques semaines, à Hambourg, à l’occasion d’ITS World Congress.

Enfin, nous nous associons au fabricant de LiDAR Ouster afin d’équiper nos solutions en LiDAR 3D 64 couches, offrant ainsi une définition optimale de scan de l’environnement. Nos solutions de vitesse et de collecte de données fixes ont d’ailleurs récemment reçu l’autorisation de la Division Métrologie du ministère de l’Economie et des Finances d’utiliser la technologie LiDAR 3D dans le cadre de la cinémométrie.

Je profite de cette newsletter pour vous souhaiter d’excellentes vacances d’été pour nous retrouver en pleine forme à la rentrée dans un contexte plus serein.

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Citoyens et mobilité, shared mobility, enjeux environnementaux… tout ce qu’il faut retenir d’Autonomy Digital 2021

Le rideau est tombé sur Autonomy Digital 2021, le salon international des solutions de mobilité durable. Des milliers de professionnels de la mobilité se sont retrouvés en ligne afin de réfléchir sur la mobilité de demain et de partager les nombreuses politiques et bonnes pratiques déjà mises en place dans les villes du monde. Entre politique alliant citoyens et mobilité, énergies vertes, shared mobility… le changement en matière de transport, c’est maintenant. 

Adina Vălean, commissaire européenne aux Transports, et la stratégie européenne

Les transports sont essentiels à la société. C’est ainsi qu’Adina Vălean, commissaire européennes aux Transports, a lancé Autonomy Digital 2021. Face à la transformation de la mobilité, elle a rappelé la nécessité d’être encore plus ambitieux en matière de mobilité et d’adopter une stratégie solide. La pandémie ayant largement modifié les déplacements et notamment boosté l’utilisation des véhicules électriques et e-bikes, il est désormais nécessaire de capitaliser sur ces changements, explique la politique roumaine. La digitalisation des transports s’accélère et les usagers se tournent de plus en plus vers les shared mobility. La mobilité est d’ailleurs l’une des priorités de l’UE pour les dix prochaines années avec l’ambition de fournir un service automatisé, sûr, flexible et sécurisé. L’aspect environnemental est également au cœur de la stratégie afin de favoriser des modes de transport respectueux de l’environnement. Et les solutions sont vastes afin de décongestionner les villes et réduire les nombreux embouteillages qui contribuent au dérèglement climatique. Enfin, quelle que soit la stratégie locale adoptée, la commissaire a rappelé que la mobilité est l’affaire de tous et doit être facilitée à tous les usagers.

Louvain, main dans la main avec les citoyens

Louvain, située à l’est de la Belgique et réputée comme la capitale européenne de l’innovation, semble avoir trouvé la recette gagnante du changement en associant les citoyens à sa politique de transformation. Pour David Dessers, adjoint à la mobilité, les citoyens sont la clef de la réussite face à un changement d’une telle ampleur. La ville a d’ailleurs couplé sa politique de mobilité à celle du climat et de son objectif de réduction de CO2.

Pour cela, l’association Leuven 2030 a vu le jour et permet ainsi à la population de participer pleinement au dessin de la future ville. Les citoyens sont fréquemment invités à répondre à divers sondages afin de définir les modes de transports dont ils auront besoin demain. Intégrer les citoyens dans l’évolution de la mobilité et des transports au sein de la ville, c’est aussi le meilleur moyen de faire accepter les changements que va connaître la collectivité dans la prochaine décennie. Parmi ses objectifs, Louvain ambitionne de doubler le nombre d’utilisateurs de vélos. Celui-ci a d’ailleurs augmenté de 44% entre 2016 et 2019, alors que l’utilisation de la voiture a, pour sa part, baissé. La ville belge mise également sur un profond changement des comportements grâce à l’élargissement de la zone piétonne.

Le défi milanais de l’électrique

Milan dispose d’un vaste réseau de transport composé de lignes de métro, de bus, de trams, ou encore de trolleys. Face à l’enjeu environnemental, la ville a décidé de généraliser l’utilisation de véhicules électriques. Ainsi, 70% du parc est désormais alimenté en énergie verte, notamment produite par ses propres panneaux photovoltaïques implantés aux quatre coins de la ville. D’ici 2030, la ville ambitionne de passer au 100% électrique grâce au renouvellement de sa flotte de 1 200 bus, à la rénovation des dépôts et à l’installation d’infrastructures de chargement aux terminus.

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La sécurité routière s’appuie désormais sur la 3D

Ce n’est pas nouveau, nous le constatons depuis quelques années maintenant, la technologie investit le champ de la mobilité. En matière de sécurité routière, PARIFEX a fait le choix des capteurs LiDAR 3D afin de renforcer la fiabilité de ses systèmes de contrôle de vitesse. Explication avec Désiré Codo, directeur R&D de PARIFEX.

Le LiDAR 3D, l’outsider des radars de vitesse

Les capteurs LiDAR 3D génèrent des cartes 3D sous la forme d’un nuage de points offrant une précision au centimètre. Ils permettent notamment de détecter les objets, d’en déterminer la position et de les identifier. Cette capacité se révèlent être un vrai atout pour améliorer la qualité des systèmes de contrôle de vitesse et la fiabilité des informations qu’ils émettent. « Notre volonté d’intégrer le LiDAR 3D à nos solutions émane d’un besoin de l’un de nos clients, le ministère de l’Intérieur français, explique Désiré Codo, directeur R&D de PARIFEX. En effet, le ministère avait besoin d’un radar fixe avec un large champ de vision. C’est ainsi que PARIFEX a opté pour cette technologie car elle permet de détecter un champ de vision à 360 degrés, contrairement aux radars traditionnels qui  sont équipés d’un capteur avec champ de vision restreint. » Alors que la plupart des capteurs LiDAR 3D ont été conçus pour une utilisation en mouvement, notamment dans la navigation des véhicules autonomes, PARIFEX a fait le choix de détourner son usage premier, en l’intégrant dans ses systèmes de contrôle de vitesses à poste fixe intégrant les modèles NANO et NANO-CAM.

Son principe : l’auto alignement

Grâce à son installation en hauteur, le capteur LiDAR 3D est capable de cartographier l’environnement à 360 degrés, augmentant ainsi les performances de détection de l’espace. Pour Désiré Codo, « L’un des avantages majeurs de cette technologie réside dans la facilité de son installation. Etant donné sa capacité à quadriller l’environnement à 360 degrés, le capteur permet un protocole d’installation simplifié. Il n’a pas besoin d’être installé selon une orientation précise, opération généralement effectuée à l’aide d’un géomètre. » Alors que le calcul de la vitesse via un système de contrôle de vitesse classique dépend de sa bonne orientation, le principe d’auto alignement propre au LiDAR 3D permet non seulement une installation facilitée – donc un coût réduit -, mais également un contrôle fiable et incontestable.

LiDAR 3D versus caméra

« Les LiDAR 3D présentent de nombreux avantages par rapport à la caméra. Alors que la caméra restitue la réalité en deux dimensions sous forme d’images dont la qualité dépend de la luminosité ambiante, le LiDAR 3D fournit un nuage de points 3D dont la qualité reste la même de jour comme de nuit et même en conditions pluvieuses. L’autre avantage est la légèreté du nuage de points en comparaison avec une image issue d’une caméra de bonne résolution, ce qui fait du LIDAR 3D un candidat sérieux pour les solutions temps réels embarquées et compactes », explique le directeur R&D.  Grâce à son temps de traitement rapide, il permet ainsi une réactivité accrue et l’obtention d’informations en temps réel. En outre, il offre une modélisation plus précise et plus fiable du véhicule permettant ainsi qu’une meilleure classification des véhicules.

Classification et fusion des capteurs

Alors qu’une fusion de capteurs était jusqu’à présent nécessaires pour classifier les différents types de véhicules, seul le capteur LiDAR 3D suffit à détecter davantage de classes de véhicules, comme les véhicules légers, les poids lourds les deux-roues motorisées ou non, les piétons, etc. « Grâce au capteur unique, on supprime le risque de désynchronisation entre les capteurs, car toutes les données proviennent du même appareil. », précise Désiré Codo.

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Notre actualité

PARIFEX célèbre la journée internationale de la sécurité et de la santé au travail

Mardi 28 avril 2021 - Journée internationale de la sécurité et de la santé au travail

En ce 28 avril 2021, journée internationale de la sécurité et de la santé au travail, Audrey Gasse, responsable de l’amélioration continue chez PARIFEX, revient sur la politique en matière de sécurité et de santé au travail, ainsi que sur les actions mises en place afin que chaque collaborateur soit assuré de travailler dans de bonnes conditions physiques et mentales. Cours de sport en visio, règles d’or de la sécurité, mais aussi réorganisation en télétravail, PARIFEX joue carte sur table sur sa politique en matière de sécurité et de santé au travail.

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Les villes face aux enjeux de la sécurité routière

Le contrôle de la vitesse n’est plus l’unique point de vigilance en zone urbaine. Avec la multiplication des moyens de déplacement tels que le vélo ou la trottinette, les situations dangereuses ne cessent d’augmenter. Les routes ne sont pas extensibles et il n’est pas toujours facile de cohabiter. Non-respect des priorités ou des feux tricolores, circulation sur les voies de bus ou vélos, non-respect des piétons… comment partager les routes et rues sereinement entre ce nouveau panel d’usagers ?

Le contrôle de la vitesse

En milieu urbain, limiter la vitesse est bien souvent la première étape afin de réduire le nombre d’accidents. La politique de vitesse 30 s’est généralisée dans un grand nombre de villes françaises. Détecter de façon précise les infractions de la vitesse donne encore du fil à retordre à bon nombre de collectivités, notamment si l’on tient compte de certains critères comme la reconnaissance multivoies, la capacité à mesurer précisément la vitesse des véhicules, ou encore l’identification de tout type de véhicule, y compris les deux-roues. Les systèmes de contrôle de la vitesse de pointe permettent une vigilance accrue grâce à leur capacité à mesurer la vitesse de façon précise, la reconnaissance des distances, la classification des véhicules, ou encore le suivi des véhicules notamment grâce à la technologie LiDAR 3D.

Mais pas seulement

Avec l’explosion du nombre de véhicules en circulation – et ce surtout depuis le début de la crise sanitaire -, le déploiement des différents modes de transport, l’aménagement d’un grand nombre de voies dédiées, etc., les possibilités d’infractions en sont démultipliées. L’un des principaux enjeux de la sécurité urbaine repose sur la gestion des différents flux de circulation et la capacité à les faire cohabiter. Le franchissement des feux tricolores au rouge, la circulation sur les voies dédiées aux bus ou aux vélos, le refus de priorité…, les collectivités doivent identifier l’ensemble des usagers qui empruntent leurs routes et rues, chaque type de véhicule ou piéton, et ainsi être en mesure de détecter tout type d’infractions.

Adapter l’aménagement urbain pour mieux gérer les flux de déplacement

Qui dit enjeux de trafic dit enjeux environnementaux car la multiplication des modes de déplacements n’est pas sans impact sur l’environnement et la santé. Alors que plus de 50% de la population mondiale vit en ville, ce taux bondira à 60% d’ici 2030. L’enjeu est donc de taille. Au fil du temps, la sécurité routière s’est imposée comme l’un des enjeux majeurs de l’aménagement des milieux urbains. Le développement des modes de transport induit une bonne gestion des nombreux flux afin de faciliter les déplacements et ce, en tout sécurité. Des solutions existent et permettent d’identifier et de classifier les différents usagers de la route, de les compter afin de récolter les données nécessaires à l’adaptation de l’infrastructure urbaine.

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